Michael Schenker: le brelan

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Michael Schenker en trois titres, parce que personne n'a demandé. Nan, pas Rudolf, l'autre. Le petit génie, passablement torturé, aux soli ciselés, incisifs et acérés, d'obédience westo-gallagherienne. Des interventions inouïes.

Fait ses armes de prodige, et plus que ça, au sein d'UFO, encore trop boudé des anthologies. Courtisé par Steven Tyler & Ozzy Osbourne, Michael eut sa fierté et continua solo en 79. Mais UFO avant toute chose. Inouï, on disait, donc.

Strangers in the Night, live phénoménal (récemment surboosté) avec un Blonde Bomber ébouriffant, aurait dû déloger la concurrence du podium hardos 70s. Mais nan. Fair enough, on retourne en studio : Rock Bottom, ou le solo tétanisant.