Pictures of Lily

#the-who #fleetwood-mac #radiohead #elvis-costello

Oh depuis le blues, bien sûr, et même l’Onan biblique avant, l’astiquage de poireau. Le mojo qui se dresse, l’affaire première du rock, cock ou pas, mais le champ d’étude, c’est les meufs backstage, branle-pas-le-combat, le grand récit bythologique du mâle alpha centaure. Inversely, le complexe Portnoy, la groupie de l’onaniste et son bâton de berger, même en mode orgasm addict, ça le fait pas trop, en manière de geste rock. Pas souvent, anyway.

Presque touchant donc, en retour, ce rare aveu de solitude, via le plaisir qui va avec, chez les Who, Fleetwood, Costello, Browne, Green Day ou Radiohead, avec le jonc en valeur refuge. Assumés, l’auto-tripotage du ding-a-ling, la propeller frustrée propulsée par les teenage kicks, les images de Lily en support, des ampoules au soleil, le shadok qui pump it up, pump it up, le Chinois poli qui turn Japanese à la gloire de Rosie Palms, le muscle of love en barre d’érotophilie, le rattlesnake secoué - oh well.

Et les girls, pas concernées, boomer ? Pas les dernières à going south en solo mais faut quand même aller souvent braconner au-delà du rock - Cyndi, P!nk, Britney, Tori - pour le grand déballage intime, un brin désamorcé today. Sauf que, la Hagen. 9 août 1979, Club 2, émission politique vespérale de la TV autrichienne. Nina se fait pédagogue et explicite, gestes précis à l’appui, où on fait et comment. Ach, donc, « elles » le font. Unbehagen sur le plateau. Les guys du rock renvoyés fissa à leurs paluchages par la diva, oui, même les pistolets du sexe du Bill Grundy show. Punk. But for real.